lundi 19 octobre 2009

Réflexion 5

5) Quels sont les avantages à utiliser le cinéma ou la musique en classe d’histoire?

La musique et le cinéma gagnent à être utilisés en classe, surtout parce puisque, comme bien d’autre méthodes, ils permettent de traiter de l’information.

Les chansons et les vidéos sont souvent porteuses de messages (politique, social ou autre) et il peut, à mon avis, être très pertinent d’analyser ces messages, comme il se serait pour un article de revue ou de journal. Ces médias peuvent souvent lancer des thèmes de débats ou de problématiques et gagnent donc à être employées en classe. Les documentaires sont aussi souvent être intéressants pour les élèves, parce que l’information leur est présentée sous un format différent de l’échange traditionnel avec le professeur.

D’autre part, et par expérience, les élèves apprécie généralement l’usage d’outils multimédia dans les cours, tout particulièrement les films (je n’ai jamais encore utilisé la musique). L’aspect particulier de ces outils leur est donc favorable, puisqu’ils risquent davantage d’être intéressés par le contenu présenté.

Bref, je suis tout à fait en accord avec l’usage de la musique et du cinéma en classe, parce qu’ils permettent de diversifier son enseignement et cherche à capter l’attention des élèves d’une façon non traditionnelle.

Réflexion 4

4) Comment les TIC peuvent contribuer à développer la conscience citoyenne des élèves?

Développer la conscience citoyenne des élèves n’est certes pas une chose facile, puisque cela implique forcément plusieurs facteurs. Qui plus est, conscientiser sur cet aspect important de la vie n’est pas une chose particulièrement facile à effectuer à l’école, et c’est pourquoi je pense que les TIC peuvent être d’une certaine utilité.

Tout d’abord, cette compétence disciplinaire d’histoire cherche entre autre à faire comprendre les institutions politiques aux élèves. Cela peut-être possible de façons théorique et magistral, mais certains sites internet gouvernementaux proposent des approches plus intéressantes pour les jeunes comme des questionnaires ou encore des jeux de rôle. Il faut toutefois faire attention, puisque ces sites ne proposent souvent qu’un point de vu, mais ils peuvent néanmoins être fort utiles.

Par ailleurs, puisque plusieurs informations peuvent être recueillies sur internet, je pense que le web peut être un outil intéressant aux élèves pour aborder différentes réalités sociales qui touche la vie politique. On peut ainsi leur faire comprendre que des événements de la vie courante sont parfois liés au monde politique et les conscientiser que leur opinion peut compter. Certains sujets risquent aussi probablement de développer en eux un esprit critique et fera sans doute en sorte qu’ils prendront peut-être position par rapport aux faits présentés, ce qui forcément développera aussi leur conscience citoyenne.

Bref, je pense que les TIC peuvent être peuvent contribuer à développer la conscience citoyenne, mais ils doivent par contre aussi être appuyés par des échanges et des discutions entre les élèves et l’enseignant. Je perçois donc les TIC comme étant un outil parallèle utile au développement de cette compétence, mais le point d’encrage de la conscience citoyenne doit, à mon avis, demeurer la participation de l’étudiant à la vie collective locale.

Réflexion 3

3) Est-il préférable de recourir à des SAÉ clé en main, à des adresses présélectionnées ou à des activités de recherches libres et ouvertes ? Justifiez votre choix?

Depuis que les programmes cherchent à mettre l’élève au centre de son apprentissage, l’approche par projet semble être privilégiée. Dans cette optique, les SAÉ (situation d’apprentissage et d’évaluation) semble alors être le modèle d’apprentissage de prédilection. Il existe toutefois différentes façons de présenter une SAÉ, et c’est pourquoi je donnerai mon opinion sur le sujet.

Personnellement, je crois les activités de recherche libre sont les plus valorisantes et les plus aptes à évaluer la compréhension d’un étudiant sur un sujet. Cela implique toutefois de l’élève qu’il soit capable d’évaluer par lui-même la fiabilité de ses sources et n’est donc pas donné à tous. Il ne faut toutefois pas s’en faire, puisque développer le jugement critique d’un élève par rapport à ses sources est un apprentissage qui se fait avec le temps. Je pense donc que les SAÉ « clé en main » dirigées sont utiles plus tôt dans le processus d’apprentissage des élèves. Elles permettent surtout de rassurer les jeunes durant leurs premiers travaux de recherche, puisqu’elles ne partent pas de rien et conduisent généralement les élèves tout au long de leur processus de réflexion. Il faut toutefois faire attention, parce que trop faciliter la tâche de l’élève peut cacher les étapes pédagogiques d’une situation dans le cas où l’élève répondrait aux questions sans vraiment se poser de questions. Il est donc important que l’enseignant puisse lui aussi être critique lorsqu’il décide d’employer une SAÉ déjà existante, puisqu’il est possible que celle-ci ne soit pas adéquatement construite et ne réponde pas à des buts pédagogiques précis que l’élève pourra cerner.

Le choix des SAÉ doit être un processus graduel. Au point de départ, il est préférable d’employer des situations déjà conçues, ou de construire des situations très dirigées, puis de graduellement guider les élèves vers des situations semi-dirigées et éventuellement ouvertes. À la fin de l’année scolaire, je pense que l’élève doit être en mesure d’avoir acquis les compétences nécessaires pour être en mesure de faire ses propres recherches en utilisant la méthode historique, comme il doit l’avoir appris tout au long de l’année scolaire.

Réflexion 2

2) Quelles contributions ces outils (la suite Office) peuvent apporter à l’apprentissage des élèves ? Existe-t-il des limites ?

Que ce soit au travers de Word, Powerpoint, Excel ou bien même Publisher, la suite Office peut s’avérer être un outil utile à l’apprentissage des élèves.

Tout d’abord, Word est l’outil de prédilection dont les élèves devraient se servir le plus souvent. Il s’agit d’un moyen efficace de mettre en page un texte adéquatement et permet à l’élève de modifier facilement ses propos jusqu’à ce qu’ils atteignent la justesse recherchée. Un autre avantage de Word est le correcteur automatique qui est à la disposition de l’élève.

Powerpoint est un autre outil intéressant de la suite Office, parce qu’il est relativement facile d’utilisation. L’élève peut aisément s’en servir pour préparer une présentation en y ajoutant texte, image, son et même vidéo. Powerpoint est bien d’un point de vu pédagogique, parce qu’il force l’élève à synthétiser et regrouper ses idées sous forme de diaporama, qu’il doit ensuite organiser dans un ordre logique. Au point de vu cognitif, je crois que Powerpoint est l’outil le plus utile de la suite Office.

Excel est un autre outil de la suite Office, mais sans doute moins utilisé par les élèves en raison de sa difficulté d’utilisation plus grande que les autres outils. Néanmoins, Excel peut s’avérer être très utile pour présenter des informations quantitatives sous forme de données dans un tableau. De plus, Excel intègre plusieurs données mathématiques et peut donc être vu d’un bon œil sur le plan de l’interdisciplinarité.

Le dernier logiciel de la suite Office que je veux aborder est Publisher. Bien que je ne connaisse pas très bien ce logiciel, il m’apparaît être un outil de création de publication variées intéressant. Je crois que développer l’esprit créatif d’un élève à travers un tel programme s’avère être bénéfique pour l’apprentissage de l’élève. Le coté esthétique que Publisher permet d’intégrer à un projet risque d’ailleurs d’impliquer davantage l’élève dans son travail.

Bref, même si la suite de Microsoft Office n’est pas proprement dit associée à l’histoire, elle peut néanmoins permettre à l’élève de faire des apprentissages. L’accessibilité facile et le fait que les élèves soient souvent déjà familiers avec ces programmes est aussi un avantage considérable.

Note au lecteur

Veuillez noter, très cher lecteur, que toutes ces rélexions ont été publiée la même journée, parce que j'utilisais un blog pour la première fois et que je les ai préalablement rédigées en format word avant de les copier/coller ici.

Bonne journée à vous!
Mathieu

mardi 8 septembre 2009

Reflexion 1

Quels éléments intégrants les TIC sont en lien avec l'enseignement de l'histoire?

Je crois que la meilleure approche pour intégrer les TIC à un cours est l’approche par situation d’apprentissage, par projet, parce qu’elle permet à l’élève de s’impliquer dans la tâche qu’il doit accomplir. Dans cet ordre d’idée, plusieurs outils informatiques peuvent servir aux élèves dans la construction de compétence, et ce de différentes façons.

Par exemple, pour ce qui est de l’histoire, des outils comme internet ou une encyclopédie multimédia facilitent grandement la collecte d’information de la part des étudiants. Parce que toutes les ressources disponibles en ligne ne sont pas forcément pertinentes, voire crédibles, cela force alors les élèves à évaluer leur sources et ainsi porter un jugement critique sur celles-ci.

Par ailleurs, les TIC permettent aussi à l’élève d’organiser plus facilement ses recherches, et même de mieux présenter ses résultats. Je pense ici principalement aux traitements de textes, qui permettent à l’élève de remettre des travaux soignés, tout en corrigeant les fautes d’orthographe et ainsi présenter des travaux de façon plus « professionnelle ». Pour ce qui est de la diffusion des résultats, un outil comme powerpoint peut s’avérer très utile, puisqu’il est excellent pour appuyer une présentation et aussi, mais surtout, qu’il force l’élève à organiser l’information qu’il veut partager de façon cohérente à travers différents diaporamas.

Les TIC facilitent aussi, selon moi, la communication entre élèves ou avec un enseignant. Les courriers électroniques sont un moyen facile que les élèves peuvent utiliser pour se partager de l’information ou des points de vus sur différents sujets. Pour ce qui est d’entretenir un contact direct avec l’enseignant, les courriers électroniques sont sans doute le meilleur moyen d’entretenir une relation professionnel où l’adulte pour répondre aux questions des jeunes en tout temps dans un délai rapide.

Bref, je pense que l’intégration des TIC dans un cours d’histoire peut s’avérer très intéressant, puisqu’elle facilite la tâche de l’élève à mettre en œuvre une démarche scientifique authentique.